Retour sur les illuminations et les marchés de Noël de 2012 à Strasbourg





Après un certain nombre d’années durant lesquelles la photographie a constitué mon passe temps préféré, mais pas exclusif, j’ai souhaité partager un peu de mon passé, remontant au développement des films N&B, jusqu’à nos jours.
Les nouvelles technologies et ma curiosité se sont alimentées mutuellement.
Mes domaines sont variés, avec essentiellement les voyages, les paysages, l’architecture, la faune et la flore, les voitures…
J’espère que votre visite vous apportera satisfaction.
Situé en Dordogne sur une hauteur, aux confins du Périgord et l’Agenais, le château de BIRON a été l’enjeu de conflits entre les comtes du Périgord et ceux de Toulouse.
Au moyen âge, son territoire sert de frontière et de lieu d »affrontement entre les rois d’Angleterre et les ducs d’Aquitaine, entre les Gontaut-Biron propriétaires et le roi de France, de lieux de pillage lors de la guerre de cent ans. Le retour de la paix et la nouvelle faveur des rois déterminent l’âge d’or de la restauration, de l’agrandissement et l’embellissement de la demeure des Gontaut-Biron, barons du Périgord, malgré la disgrâce qui frappe l’un d’entre eux début XVII ème . Ensuite les propriétaires l’abandonnent au profit de leur hôtel parisien. La révolution confirme cet abandon, suivi d’un oubli relatif fin XIX ème siècle.
Il devient propriété du département de la Dordogne en 1978, qui va se consacrer à son immense restauration.
Aperçu du château en arrivant par le Nord, avec de gauche à droite le Donjon (tour à facettes), la terrasse et l’arcade, et enfin la tour Henri IV.
L’arrivée par l’escalier avec en face la tour Saint Pierre et derrière la tour Henri IV
La cour avec la chapelle et la galerie faisant liaison avec la tour de la conciergerie à droite.
La porte d’accès de la tour de la conciergerie mène au rempart qui rejoint la tour Saint Pierre.
La cuisine voûtée en anse de panier.
Vue côté Est à partir de la terrasse haute vers la cour basse et le bâtiment de la Recette.
La loi de Freycinet de 1879 pour améliorer la navigation (et augmenter le trafic) sur les canaux français, dont la grande ligne ligérienne de Digoin à Briare et son prolongement vers le bassin parisien par les canaux de Briare et du Loing, un pont canal en acier fut construit à partir de 1890 et ouvert en 1896. Il permet au canal latéral à la Loire (réalisé entre 1822 et 1838) de traverser la Loire sans passer dans le lit du fleuve, une manœuvre rarement aisée, qui avant la construction du pont se faisait en remontant la Loire vers l’amont sur un kilomètre jusqu’au passage en Loire de Mantelot, sur la commune de Châtillon sur Loire. Ce pont-canal établi à Briare permit dans le même mouvement une connexion plus facile du canal latéral avec le canal de Briare à la Cognardière, à 3 kilomètres de la Loire. Il est l’œuvre de l’ingénieur-en-chef Léonce Abel Mazoyer (1846-1910).
Le pont-canal de Briare, qui appartient au canal latéral à la Loire (et non au canal de Briare), est établi sur quatorze piles, construites sur des caissons profonds de 5 à 8 mètres. Sur ces piles est posée une poutre métallique unique qui supporte une cuvette en U qui contient plus de 13 000 tonnes d’eau (2,20 mètres de profondeur). La largeur du pont, chemins de halage compris, est de 11,50 mètres ; sa longueur de 662,70 mètres.
En plus de franchir la Loire, le pont-canal franchit l’ancien canal latéral de 1838. Huit vannes permettent de vider le pont-canal en cas de gel sévère.
Pour de plus amples informations consulter : https://www.chateau-hautefort.com/decouvrez-notre-histoire/histoire-et-architecture/
Une visite apaisante dans ce parc de 29 ha à l’ombre d’une végétation maîtrisée, et ordonnée à l’orientale. A l’origine une ferme à l’abandon, il renaît en 1980.
En 1987, des professeurs japonais des universités horticoles de TOKYO et de NIIGATA reconnurent les 12 hectares du site classé comme étant inspirés de jardins japonais de la période EDO (XVIe- XIXe siècles).
https://www.parc-oriental.com/
Visite de nuit.
Un jeune « petit gris » partait à la conquête du monde.
Il escaladait sans vertige aucun.
Mais au sommet de sa jeunesse, force est de constater que
Parfois les demi tours sont nécessaires,
Si l’on veut vivre plus avant.
La Frégate «Shtandart»
Le premier navire de guerre de la flotte Baltique a été construit en 1703 d’après les plans de Pierre 1er le Grand et avec sa participation directe au projet.
En 1994 des jeunes enthousiastes de Saint-Pétersbourg décidaient de faire revenir le « Shtandart » de Pierre 1er sur les rives de la Neva, en construisant une réplique.
Le nouveau «Shtandart» est une réplique exacte de l’ancien à l’exception de l’intérieur.
Cf : https://www.shtandart.ru/fr/ et https://fr.wikipedia.org/wiki/Shtandart_(1999)
Ce papillon originaire d’Europe centrale migre vers l’Afrique tropicale. Il semble que celui là, ai décidé d’explorer d’autres horizons, ou a été dérouté par des vents inhabituels …? Vu en Charente Maritime.
Voir quelques explications ici :https://www.science-et-vie.com/nature-et-enviro/decouverte-d-une-incroyable-migration-de-masse-chez-le-papillon-belle-dame-4000-7137
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