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Vallée d’Ossau et ses villages

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EN ROUTE POUR LE SPITZBERG

  • TRØMSØ

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A propos de moi

Après un certain nombre d’années durant lesquelles la photographie a constitué mon passe temps préféré, mais pas exclusif, j’ai souhaité partager un peu de mon passé, remontant au développement des films N&B, jusqu’à nos jours.

Les nouvelles technologies et ma curiosité se sont alimentées mutuellement.

Mes domaines sont variés, avec essentiellement les voyages, les paysages, l’architecture, la faune et la flore, les voitures…

J’espère que votre visite vous apportera satisfaction.

LE CHÂTEAU DE BIRON


Situé en Dordogne sur une hauteur, aux confins du Périgord et l’Agenais, le château de BIRON a été l’enjeu de conflits entre les comtes du Périgord et ceux de Toulouse.

Au moyen âge, son territoire sert de frontière et de lieu d »affrontement entre les rois d’Angleterre et les ducs d’Aquitaine, entre les Gontaut-Biron propriétaires et le roi de France, de lieux de pillage lors de la guerre de cent ans. Le retour de la paix et la nouvelle faveur des rois déterminent l’âge d’or de la restauration, de l’agrandissement et l’embellissement de la demeure des Gontaut-Biron, barons du Périgord, malgré la disgrâce qui frappe l’un d’entre eux début XVII ème . Ensuite les propriétaires l’abandonnent au profit de leur hôtel parisien. La révolution confirme cet abandon, suivi d’un oubli relatif fin XIX ème siècle.

Il devient propriété du département de la Dordogne en 1978, qui va se consacrer à son immense restauration.

Aperçu du château en arrivant par le Nord, avec de gauche à droite le Donjon (tour à facettes), la terrasse et l’arcade, et enfin la tour Henri IV.

L’arrivée par l’escalier avec en face la tour Saint Pierre et derrière la tour Henri IV

La cour avec la chapelle et la galerie faisant liaison avec la tour de la conciergerie à droite.

La porte d’accès de la tour de la conciergerie mène au rempart qui rejoint la tour Saint Pierre.

La cuisine voûtée en anse de panier.

L’entrée du château de Pons
Sur ce seuil sont gravés les rayons du soleil couchant.

Vue côté Est à partir de la terrasse haute vers la cour basse et le bâtiment de la Recette.

  1. La chapelle du XVI eme et la tour Saint-Pierre.
  2. Au centre le tombeau de Pons de Gontaut, à droite celui de d’Armand.
  3. Vitraux : détails.
  4. Tombeau de Pons : détails.
  5. Suites de la Révolution.
  6. Tombeau d’Armand de Gontaut : détails.
  7. La plateforme (recouverte de lierre) et le Vieux Logis.

Le pont-canal de BRIARE

La loi de Freycinet de 1879 pour améliorer la navigation (et augmenter le trafic) sur les canaux français, dont la grande ligne ligérienne de Digoin à Briare et son prolongement vers le bassin parisien par les canaux de Briare et du Loing, un pont canal en acier fut construit à partir de 1890 et ouvert en 1896. Il permet au canal latéral à la Loire (réalisé entre 1822 et 1838) de traverser la Loire sans passer dans le lit du fleuve, une manœuvre rarement aisée, qui avant la construction du pont se faisait en remontant la Loire vers l’amont sur un kilomètre jusqu’au passage en Loire de Mantelot, sur la commune de Châtillon sur Loire. Ce pont-canal établi à Briare permit dans le même mouvement une connexion plus facile du canal latéral avec le canal de Briare à la Cognardière, à 3 kilomètres de la Loire. Il est l’œuvre de l’ingénieur-en-chef Léonce Abel Mazoyer (1846-1910).

Le pont-canal de Briare, qui appartient au canal latéral à la Loire (et non au canal de Briare), est établi sur quatorze piles, construites sur des caissons profonds de 5 à 8 mètres. Sur ces piles est posée une poutre métallique unique qui supporte une cuvette en U qui contient plus de 13 000 tonnes d’eau (2,20 mètres de profondeur). La largeur du pont, chemins de halage compris, est de 11,50 mètres ; sa longueur de 662,70 mètres.

En plus de franchir la Loire, le pont-canal franchit l’ancien canal latéral de 1838. Huit vannes permettent de vider le pont-canal en cas de gel sévère.

Parc Oriental de Maulévrier

Une visite apaisante dans ce parc de 29 ha à l’ombre d’une végétation maîtrisée, et ordonnée à l’orientale. A l’origine une ferme à l’abandon, il renaît en 1980.

En 1987, des professeurs japonais des universités horticoles de TOKYO et de NIIGATA reconnurent les 12 hectares du site classé comme étant inspirés de jardins japonais de la période EDO (XVIe- XIXe siècles).

https://www.parc-oriental.com/

https://www.francebleu.fr/vie-quotidienne/voyages-vacances/l-ete-au-parc-oriental-de-maulevrier-1593693670

Erable du japon à feuilles laciniées
Hètre à feuilles margées de rose
Hètre à feuilles margées de rose

Visite de nuit.

Le SHTANDART

La Frégate «Shtandart»

Le premier navire de guerre de la flotte Baltique a été construit en 1703 d’après les plans de Pierre 1er le Grand et avec sa participation directe au projet.

En 1994 des jeunes enthousiastes de Saint-Pétersbourg décidaient de faire revenir le « Shtandart » de Pierre 1er sur les rives de la Neva, en construisant une réplique.

Le nouveau «Shtandart» est une réplique exacte de l’ancien à l’exception de l’intérieur.

  • Année de construction : 1999
  • Longueur :34,5 m
  • Hauteur des mats : 33m
  • Voilure : 660 m2

Cf : https://www.shtandart.ru/fr/ et https://fr.wikipedia.org/wiki/Shtandart_(1999)

Papillon du jour…

BELLE-DAME
BELLE-DAME

Ce papillon originaire d’Europe centrale migre vers l’Afrique tropicale. Il semble que celui là, ai décidé d’explorer d’autres horizons, ou a été dérouté par des vents inhabituels …? Vu en Charente Maritime.

Voir quelques explications ici :https://www.science-et-vie.com/nature-et-enviro/decouverte-d-une-incroyable-migration-de-masse-chez-le-papillon-belle-dame-4000-7137

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